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Quelle est la différence entre theravâda et zen ?

question 74




Quelle est la différence entre theravâda et zen ?

J'ai plusieurs questions concernant les rapports du theravâda et du zen : Qu'est-ce qui différencie le bouddhisme therâvada du bouddhisme zen ? Le zen dispensé en France est-il conforme à la tradition de Dôgen ? Quelle est la perception du bouddhisme zen par le bouddhisme theravâda ?

La question étant plus détaillée, voir le texte complet de la question


Réponse :
J'observe que de nombreuses questions se portent sur le bouddhisme theravâda. L'histoire du courant theravâda est à appréhender justement par rapport à l'apparition de nombreux courants dans le bouddhisme et à la perte progressive des conceptions de base du bouddhisme des origines. Il faut garder en mémoire que, aussi différents qu'ils puissent paraître, les courants du bouddhisme ont partout les mêmes fondements et en particulier, au delà de la personnalité exceptionnelle du bouddha historique, la réalité des quatre nobles vérité, la notion de samsâra, la notion d'impermanence déclinée par les trois termes aniccâ (impermanence), dukkha (souffrance), anatta (sans soi propre), et par la volonté de se soustraire définitivement aux cycles du samsâra , c'est-à-dire d'accéder à l'éveil, notamment par la pratique des exercices mentaux dont la méditation.

Tous les courants qui se réclament du bouddhisme sont au moins d'accord là dessus.

L'autre spécificité remarquable du bouddhisme, c'est la diversification importante en de nombreux courants les plus divers. C'est à mon sens, le signe d'une grande ouverture et d'une grande souplesse. Le bouddhisme ne promulgue pas de dogmes, le bouddhisme ne se construit pas sur une supposée vérité établie une fois pour toute. Non, le bouddhisme se construit comme une réflexion, elle-même nourrie par des siècles de pensée des ascètes indiens, synthétisée au moment du bouddha historique et renouvelée par les ascètes qui ont porté le bouddhisme dans les nombreuses contrées d'Asie.

Le bouddhisme, c'est avant tout, une méthode. Il n'y a rien d'étonnant à ce que certains aient voulu donner des interprétations particulières à cette méthode sans remettre en cause fondamentalement les principes de base du bouddhisme. Toutefois, et notamment en Chine, des courants de pensée se sont établi antérieurement à l'arrivée du bouddhisme, et ont pu intégrer tardivement certains de ses principes fondamentaux et modifier sensiblement le contenu de sa philosophie et la nature de son enseignement. Il me semble que le zen (mais aussi le bön au Tibet et certains courants dits "bouddhisme tantrique", ou dit "bouddhisme lamaïque", appartiennent à cette catégorie).

Comme je l'ai déjà écrit dans un autre article, dès la disparition du bouddha historique, les principaux disciples, puis leurs descendants ou leurs successeurs se sont efforcé de restituer et de matérialiser les enseignements du bouddha d'abord oralement puis scripturalement. C'est cette mise " noir sur blanc " qui a conduit aux premières interprétations et aux premières divergences d'opinion. On sait que très tôt des courants se distinguèrent sur le sens à donner à telle ou telle parole du bouddha et sur la meilleure façon d'assurer l'enseignement de la loi bouddhique. Certains considérèrent qu'il fallait faire profiter le plus grand nombre et pour ce faire adjoindre aux enseignements initiaux tout un ensemble d'éléments théoriques, spéculatifs et symboliques. C'est cette interprétation qui donne naissance aux courants dits mahâyânistes. En revanche, d'autres restèrent attachés à une transmission plus restreinte, de maître à élève, reposant sur une pratique solitaire et sur une ascèse individuelle, à l'instar du parcours du bouddha historique lui-même. Ces derniers sont aujourd'hui les adeptes du courant theravâda.

Il est artificiel de prétendre que le theravâda ne se soucie pas des autres et que le mahâyâna néglige l'expérience individuelle. De ce point de vue, le bouddhisme theravâda est certainement celui qui s'est développé le plus fidèlement aux principes originels tandis que le mahâyâna est sans doute celui qui s'est constitué en s'en éloignant. Les refondations successives, aux nombres desquelles il faut compter le bouddhisme zen et Dôgen, constituent d'une certaine manière des retours aux sources du bouddhisme originel face à des courants qui en avaient trop perdu les orientations principales.

Le courant du theravâda s'est développé quand d'une part les sectes hinayâna devinrent de plus en plus marginales et que le mahayâna développaient une forme de bouddhisme de plus en plus en rupture avec l'enseignement originale.

Historiquement le theravâda n'est pas une refiondation, mais un courant qui s'est dessinée très tôt. On pense que c'est le sage Moggaliputta Tissa qui l'a inauguré, 20 ans après la mort du bouddha historique et que c'est le sage Mahinda, qui le premier l'implanta au Sri Lanka notamment au sein du vihara Mahâvihara. Même s'ils sont moins connus que certains auteurs du mahayâna, le theravâda connaît également de grands théoriciens tels Anuruddha, Buddhadanta, Buddhaghosha et, Dhammapâla. C'est son confinement au Sri Lanka qui permis son développement durable et sa diffusion ultérieure dans les pays d'Asie du sud-est. Bien sûr, le theravâda connaît également de nombreux courants et nombreuses écoles notamment par rapport aux pays dans lesquels il s'est développé. Il est tout à fait évident qu'on peut distinguer un bouddhisme ceylanais, un bouddhisme birman (d'une rare vivacité) et un bouddhisme thaï. Quand on est dans ces pays on peut être surpris, bousculé ou déçu de voir certaines croyances ou pratiques coexister avec les concepts du bouddhisme. Ainsi, le bouddhisme karmique, où l'on cultive la rétribution des actes, peut paraître caricatural, notamment quand les individus n'agissent plus que dans le but d'une gratification supposée dans une vie ultérieure. De même, l'immixtion de superstitions se rapportant à telle conduite à proscrire, ou à telle ou telle dévotion à l'égard de statues de bouddha ou de lieux spécifiques peut paraître totalement éloigné des conceptions bouddhistes.

Dans le même temps, la différenciation des courants donnait naissance aux sectes mahâyâna qui se développèrent vers l'Inde du Nord et intégrèrent des éléments plus spéculatifs sur les notions de renaissance, de karma et sur la pratique. On pense que dès cette époque le bouddhisme du mahayâna cultiva un certain goût pour l'ésotérisme. Ces formes de bouddhisme se diffusèrent notamment tout au long des différentes routes de la soie et gagnèrent progressivement toue l'Asie centrale, les régions ouest de la Chine puis les grands centres de civilisation chinoise. Puis, ces courants passèrent en Corée et au Japon (les maîtres du Sanron, première école bouddhiste au Japon, étaient tous coréens).

Naturellement les courants qui arrivent au Japon n'ont rien à voir avec les courants qui arrivèrent en Asie centrale ou à l'ouest de la Chine. Dans ces régions, puis dans la Chine impériale, le bouddhisme a rencontré les courants philosophiques préexistants. On dit souvent que le bouddhisme s'est aussi assez difficilement confronté avec ces courants et notamment avec le confucianisme. Il convient de bien identifier les différences fondamentales qui existaient entre les Indiens et les Chinois. En effet, un bouddhisme sous tendu par la cyclicité du vivant (que l'on peut traduire par réincarnation), ne signifie rien pour des chinois qui considèrent le temps comme linéaire et la vie comme étant rattachée rattaché à une filiation d'ancêtre parfaitement identifiable selon leur croyance. Par ailleurs, la notion de renoncement total, si révéré par les Indiens (le bouddha historique abandonne ses biens, sa famille, ses parents, ses enfants, son épouse …), est complètement étrangère aux chinois, voire sacrilège dans un pays où l'on voue un culte aux ancêtres.

Le zen est un courant qui se trouve, quelque part, à l'autre extrémité de l'éventail des courants bouddhistes. D'un côté le theravâda se veut représenter autant que possible, le bouddhisme originel, de l'autre, le zen se présente comme un courant qui serait passée par une succession de filtres qui aurait affiné à l'extrême les concepts à la manière d'un tamis qui ne retient des grains d'un seul calibre et d'une seule couleur (comme dans ces jardins secs des temples zen faits uniquement de graviers gris clairs).

Le zen, a lui aussi connu différentes étapes et se divise aujourd'hui en de nombreuses sectes qui diffèrent sur plusieurs points. Il faut noter qu'aujourd'hui on parle soit de zen seul sans faire référence au bouddhisme ou on parle de bouddhisme zen. L'une des sources premières du zen se trouve dans le taoïsme. Cette origine est donc non bouddhiste. Le taoïsme est une philosophie chinoise très ancienne dont l'un des fondateurs historiquement reconnu aurait vécu, il y a à peu près 2500 ans. La spécificité du taoïsme est la référence à un tout dans lequel se résorberait toute chose. Ce tout ayant une dynamique et incarnant la force vitale ou l'énergie universelle. Le bouddhisme ne se prononce pas sur ce type d'entité et laisse de côté toute spéculation sur ces sujets. Le taoïsme adopte très tôt ce goût pour les expressions contradictoires, que les intellectuels appellent le " paradoxe antirationnel " qui consiste à dénier toute utilité à la pensée rationnelle et à privilégiée la pensée intuitive. En outre, taoïstes et néo-taoïstes développèrent la notion du wuwei, c'est-à-dire le " non agir " ou le " non intervenir ", considérant que toute choses doit aller à son terme sans aucune forme d'intervention.

Sur ces deux attitudes, on ne peut pas dire que le bouddhisme et le taoïsme s'opposent. Le bouddhisme s'est souvent servi de l'expression poétique pour évoquer ou illustrer son approche du réel. Par ailleurs, la notion d'impermanence correspond très bien avec un type d'expression où l'absurde, la non rationalité sont les modes d'expression de cette pensée. Le bouddhisme a contribué à la création de tout un ensemble de vocabulaire directement lié à son approche philosophique du monde (voir le glossaire des termes pâli). D'ailleurs, la traduction des termes pâlis dans les autres langues, jusqu'au français, est l'un des grands défis posés par le bouddhisme. Si l'on parle de modernité du bouddhisme dans les sociétés occidentales, c'est bien parce qu'il a fallu attendre que la philosophie allemande et la psychanalyse créent et vulgarisent un certain nombre de concepts ou d'horizons inconnus (notamment sur l'organe mental, sur la dimension psychologique du sujet, sur la subjectivité comme primant sur la supposée objectivité du monde, etc …) pour que cette terminologie bouddhique soit enfin comprise dans toute son ampleur.

On manque d'éléments pour juger si ce type d'expression littéraire ou picturale, a pu aussi se développer en Inde, compte tenu de la disparition quasi complète des textes du bouddhisme indien en Inde.

La seconde source du zen, est l'arrivée postérieure du bouddhisme mahâyâna, introduit notamment par les écrits du philosophe indien Nâgârjuna qui développa à la suite du triple concept aniccâ, dukkha, anatta, le concept de vacuité ou sunyatâ. Cette vacuité dans laquelle se résous toute chose, qui comprend toute chose se met en place comme une synthèse nouvelle. En effet, la notion de sunyatâ n'est pas décrit dans le bouddhisme original. On peut seulement dire qu'elle peut en être induite ou en être déduite. Pour Nâgârjuna, la vacuité s'explique assez simplement : si les phénomènes extérieurs sont à la fois éphémères et transitoires et si nous n'avons de la réalité que des représentations de nos organes mentaux, c'est que le monde n'a aucune réalité propre et qu'il n'existe que parce que nous le créons à chaque instant. Enfin, l'appareil percepto-sensoriel qui perçoit et représente est vide aussi puisqu'il est impossible de savoir où se trouve cet organe mental, cette fonction, cette capacité à représenter. Ainsi le vide inclut à la fois ce qui représenté et ce qui est représenté.

Le bouddhisme theravâda ne saurait être en opposition avec cette affirmation. Toutefois, le fait que le monde est une représentation et que les cinq sens qui concourent à cette capacité sont eux-mêmes transitoires et non cernables sont des faits acceptés mais qui n'appellent pas forcément à l'émergence d'un concept globalisant qu'est la notion de vide ou de vacuité. Certains courants du zen ont érigé ce principe d'une manière hégémonique au détriment des autres composantes de la pensée bouddhiste originelle. Le theravâda dirait plus simplement " toute chose est aniccâ, dukkha et anatta, point "

Le zen n'acquit donc, à la faveur d'alternance politiques où le confucianisme le taoïsme et le néo-taoïsme étaient en recul, par la synthèse entre les doctrines du taoïsme et du bouddhisme mahâyâna. La venue en Chine de maîtres tels que Bodhidarma (décrit comme l'introducteur du bouddhisme dyâna en Chine) devait définitivement accentuer le rôle central de la méditation dans la pratique. Le zen, nom japonais généralement utilisé, est une transcription du mot sanskrit dhyâna qui renvoie aux exercices mentaux de concentration généralement compris par l'appellation " méditation ". De dyâna, le mot devint en chinois ch'an-na, ou ch'an, En japonais ce même mot devint zenna ou zen. L'importance centrale de la méditation est contenue dans la dénomination du courant.

Au fil des décennies le zen se développa en Chine et connu de nombreux maîtres éminents. Il connut aussi des interprétations diverses qui donnèrent lieu à l'émergence de sectes prônant des voies différentes pour atteindre l'éveil. Ainsi on distingue notamment la voie progressive (l'éveil ne pouvant venir que par étapes successives) et la voie subite (l'éveil pouvant surgir inopinément à tout moment de manière subite). De même, les techniques proprement zen se mirent en place, comme les poèmes irrationnels (dits koan), comme les questions provocatrices (dite mondo), comme les cris et les coups …

Au Japon, le zen arriva tardivement, on situe autour du XIIe siècle l'arrivée du zen, même si différents maîtres chinois avaient déjà tenté de l'introduire depuis le VIIe siècle. Les sectes qui se développèrent reprirent les différences et les nuances qui avaient justifié leur apparition dans le contexte chinois. Ainsi les deux courants dominants du milieu du IXe siècle en Chine, Linji et Caodong devinrent au Japon les courants Rinzaï et Soto. Avant l'apparition du zen au Japon, trois formes de bouddhisme s'y étaient développées. Une forme dite grand public, le Tendaï (reprenant intégralement les concepts du T'ien T'ai chinois) et basée sur la métaphysique de Nâgârjuna, une secte ésotérique reposant sur le secret appelé Shingon et un courant dit amidiste, reposant sur le culte du bouddha Amithäba. Ces courants n'ont plus grand chose à voir avec le bouddhisme des origines et avec le bouddhisme theravâda.

Dôgen est historiquement reconnu comme étant celui qui a introduit le bouddhisme zen au Japon. A l'instar de ses maîtres chinois, tels Rujing (Jou-King), Dôgen a particulièrement insisté sur l'importance de la méditation comme unique moyen d'accéder à l'éveil. Son enseignement principal a surtout consisté à exposer l'importance de la posture, les techniques de méditations et la nécessité de se maintenir le plus longtemps possible en méditation. Il est également connu pour son enseignement et la rédaction de plusieurs ouvrages dont le premier " Recommandation universelle pour la méditation ", et son second "  Conférence sur la pratique " (Cf. aussi son ouvrage majeur le Shôbôgenzô). Dôgen a aussi contribué à débarrasser les doctrines japonaises des ajouts et des interprétations successives pour revenir à une forme plus pure.

Ce sont certainement là des points communs avec le bouddhisme theravâda qui accorde une très grande importance à la médiation, sans toutefois postuler que la méditation est l'unique chemin qui conduit à l'éveil.

Question n°2

Concernant votre question n°2, et ne connaissant pas les enseignements diffusés par l'AZI, je ne pourrai pas vous répondre. Quand je suis allé en 1982 dans le petit temple zen de la rue Pernety, j'ai été très impressionné par la qualité et la personnalité du maître Taisen Deshimaru. Je crois pouvoir dire que son enseignement état parfaitement fidèle à ce que l'on peut comprendre du niveau atteint par les fondateurs de ce courant. Aujourd'hui qu'il a disparu, je ne puis rien vous dire sur ses successeurs français.

Une des raisons pour lesquelles je ne me suis pas engagé dans le zen à cette époque était que je me sentais extrêmement inconfortable parmi les adeptes du zen de cette organisation. Il me semblait qu'il y avait un grand fossé entre le maître et ses élèves. En outre, je n'ai pas trouvé cette organisation très accueillante. J'observe que depuis la disparition de Taisen Deshimaru, " l'alchimie " est un peu perdue. Je crois que vous avez raison, il y a une " gestion " du zen, comme il y avait me semble-t-il une " gestion " du maître qui ne cadrent pas avec l'enseignement de cette philosophie. Par ailleurs, je ne suis pas séduit du tout par l'idée d'un zen à la française, pas plus que par l'idée d'un bouddhisme à la française. Il faudrait analyser qui et pourquoi certains citoyens français prennent le pouvoir dans ces structures et quel est leur background. Je suis choqué aussi d'une volonté syncrétique entre l'idéologie et la pauvreté occidentale en matière de spirituel et les courants bouddhistes et issus du bouddhisme. Je vais me répéter mais je pense qu'on fait alors autre chose que du bouddhisme et cela ne s'appelle pas du bouddhisme.



Question n°3

Il apparaît que le zen de Dôgen a permis au bouddhisme de retrouver son sens dans une région où l'ésotérisme, le ritualisme et les pratiques secrètes tenaient lieu de bouddhisme. En particulier, l'attention donnée à la posture et à la pratique de la méditation.

Pour le contenu philosophique, la place prépondérante accordée à la vacuité et à la notion de vide me paraît dépasser et déborder la vision du bouddhisme et la nature même de la pensée bouddhique, dans la mesure où se constitue avec ce concept une sorte de " panthéisme " du vide. Le bouddhisme originel n'est jamais tenté par la spéculation métaphysique et le bouddha considèrent ces extrapolations comme des fausses routes. Le bouddhisme theravâda est non théiste, non panthéiste, non spéculatif.

De plus, j'ai pris connaissance d'affirmations de certains membres du zen qui considèrent le zen comme non bouddhiste et comme la matrice de toutes les religions. Je voudrai rappeler que le bouddhisme n'est pas une religion, simplement une démarche spirituelle. Si les membres du zen se considèrent eux-mêmes comme non bouddhistes, et bien ils ne sont pas bouddhistes.

J'espère avoir répondu à votre question.










Texte complet de la question

J'ai plusieurs questions concernant les rapports du theravâda et du zen :

1) Qu'est-ce qui différencie le bouddhisme therâvada du bouddhisme zen, tant dans la philosophie que dans la pratique ?

2) Pensez-vous que le zen dispensé en France essentiellement par l 'A.Z.I. soit conforme à la tradition de Dôgen, dont elle se réclame ? (comme l'AZI a quasiment la mainmise sur l'enseignement du zen Sôtô en France, il est très difficile de trouver à ce sujet un discours "alternatif")

3) De façon plus générale, quelle est la perception du bouddhisme zen par le bouddhisme therâvada ? Autre courant ? "Hérésie" ? "Avatar" tardif de l'enseignement de Bouddha ?

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Cette page a été crée le 20 janvier 2002.


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