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Le coin des films: parlez de cinéma
L'Gé écrit: «On en fait trop avec Cronenberg, Houellebecq, Easton Ellis. Ces gens-là produisent du malaise. Ces gens-là font du fric sur ça, sur notre malaise... Pourquoi aime-t-on ça ? Je n'aime pas. Cronenberg se fout de notre gueule ! ... montrer de la violence, c'est montrer de la violence, point ! C'est ecoeurant certes, Peckinpah et Verhoeven (et d'autres) nous ont écoeuré avant lui (et trés bien aussi !)... mais ça ne dénonce rien du tout !!! Qui n'a pas frissonné quand le personnage joué par Mortensen se retourne, le flingue à la main, hésite un 1/10 ème de seconde, et tire dans la tête du braqueure ? Dire que l'on dénonce la violence en la montrant c'est de l'imposture ! Témoigner d'un monde violent, oui c'est respectable, mais jouer sur le malaise des gens je trouve ça méprisable.»
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Musiques: votre playlist
hempror écrit: «J'aime les éditions CD collectors ou autres conneries avec de beaux petits livrets plein de photos ou autres petits plus. J'aime commander des trucs par internet au Japon, aux USA, un peu partout, directement sur le site internet des groupes ou des labels indés. En bref, oui j'aime collectionner mes CD, c'est peut-être matérialiste, fétichiste ou ce que vous voulez mais chacun son délire, ça c'est le mien!»
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«Avec le portable, on se met en scène»
Joëlle Menrath, coauteure d'un rapport sur nos comportements avec le téléphone mobile :
vendredi 04 novembre 2005
88 % d'utilisateurs satisfaits Accéder au forum Balade numérique
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Romans, essais, BD, polars... Vos lectures
Pas de Goncourt pour Houellebecq Et oui, il a ete battu de deux voix par un certain Weyergans. Finalement c'est pas tres grave, puisque «La possibilite d'un ile» est loin d'etre son meilleur livre.Ah oui, parce que je viens enfin de lire «La possibilite d'un ile». C'est pas parfait. Je distingue 4 mouvements : 1) Deja, au debut, il y a comme une... impossibilite de se renouveler : pendant les 100 premieres pages, il nous assene sa sombre vision de l'humanite (quel pensum !) et parle d'un personnage qui parvient quand meme a trouver l'amour malgre toute cette merde (bonjour la redite). Au niveau du style, il reste la narration remarquablement fluide d'un excellent conteur, mais enfin, il commence a saouler avec ses «c'est clair» et ses «bien sur», artificiellement rajoutés pour donner plus de force a son propos. 2) Et puis, quand la premiere histoire d'amour du personnage commence a se degrader en meme temps que la chair de la personne aimee, l'auteur trouve ses marques, et confirme son hallucinante lucidite quant aux les rapports humains en periode de turbulence. Personne ne parle aussi bien du malheur que Houellebecq... c'est clair ! :o) 3) L'episode de la secte (quand Vincent est amené a prendre une plus grande importance... je n'en dit pas plus pour eviter le spoiler). La, l'auteur me decoit a nouveau. C'est surtout un probleme d'invraissemblance : que la police ne fasse meme pas de lien entre les differentes disparitions alors que c'est comme le nez au milieu de la figure... Franchement, j'espere que Houellebecq ne se mettra jamais au polar, parce que c'est pas son fort. Ce passage est d'autant plus decevant qu'il est assorti d'une nouvelle relation amoureuse du personnage, celle-ci purement sexuelle : l'occasion pour l'auteur de verser dans une pornographie assez peu passionnante. 4) A la fin du livre, coup de genie. Comme Houellebecq ne semble plus trop quoi faire de son personnage, il se recentre sur le personnage du futur, et ces dernieres pages sont admirables. La vision que le neo-humain a des sauvages que nous deviendrons, nous, les simples humains, dans quelques siecles, est un vrai choc. Au passage, la reflexion (je devrais dire meditation) sur ce qui fait une civilisation est vraiment interessante, bien que terrifiante. Et ca se termine par une curieuse pirouette bouddhiste... on sent Houellebecq parfaitement a l'aise dans le domaine de la SF. Au final, ca reste du Houellebecq, c'est-a-dire de la tres bonne litterature (en particulier dans les parties 2 et 4), mais loin du chef d'oeuvre qu'est «Les particules elementaires», et avec moins d'humour que dans «Plateforme».
nakata
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